À retenir et ouvrir la réflexion
Loin d’une simple addition de consommations, la polyaddiction reflète les fragilités sociales, le stress, la difficulté d’accès à la prévention et aux alternatives. Les contextes précaires, de rupture, ou de grande tension familiale, sans exclure les quartiers plus favorisés, apparaissent plus vulnérables à ces phénomènes. Néanmoins, la diversité des trajectoires, la complexité des situations et la force des réseaux locaux imposent une prévention sur-mesure.
Les professionnels, les familles, et chaque citoyen peuvent agir à leur niveau. Mieux repérer, dialoguer sans tabou, s’appuyer sur les forces du collectif régional, voilà quelques pistes pour que la polyaddiction ne soit plus synonyme de fatalité, mais d’enjeux partagés.
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